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Coworking Conference 2013 Barcelona novembre 2013

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Solidarité

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Madame Anne Hidalgo Maire de Paris France Europe

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vendredi 17 février 2012

Casbah d’Alger Paris 2012


La Casbah se dévoile par la photographie à Paris
PARIS - Une exposition comprenant une sélection de photographies prises il y a plus de cinquante ans dans la Casbah d’Alger a été inaugurée mercredi soir au Centre culturel algérien (CCA) dans la capitale française.
Un public nombreux est venu découvrir, à travers ce voyage virtuel proposé par le CCA à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance nationale, les visages multiples de cette cité mythique.
On apprendra à l’occasion que les auteurs de cette riche collection —deux appelés français, Yves Robert, aujourd’hui décédé, et Alain Gedovieus, le premier photographe et le second cinéaste, tous deux au service Cinéma des armées françaises— "ont consacré leur temps libre entre 1956 et 1960, à arpenter les ruelles, inventorier les maisons, les patios, les impasses, les cimetières et les mosquées pour immortaliser le cœur historique de la capitale, durant la guerre de libération nationale".
L’entreprise était périlleuse en ce sens que les auteurs de ces quelque 900 clichés, qui devaient à l’époque faire l’objet d’un ouvrage publié en Algérie aux éditions Baconnier, opéraient en civil en pleine guerre, sans armes et sans escorte, et devaient se méfier de tout ce qui pouvaient mettre en péril leur initiative.
"Nous avons heureusement bénéficié de l’amitié de deux +Casbadjis+, aujourd’hui décédés, qui nous ont guidés dans les endroits les plus dangereux en se portant garants de l’honnêteté de nos intentions", dira Alain Gedovieus à l’APS.
"Nos supérieurs n’ont jamais été au courant de nos expéditions, car nous n’avions pas du tout besoin de les informer, le service cinéma des armées était un service libre, nous disposions de beaucoup de temps et la découverte de la Casbah nous a occupés", a confié le cinéaste.
"Les photos de nuit nous les avons réalisées dans un but précis, dans la mesure où dans la journée à la Casbah, il était absolument impossible de photographier des façades, des portes des maisons, sans être surveillés. Donc grâce au couvre-feu, les photos de nuit nous ont permis de photographier des rues désertes et de mettre en valeur les détails d’architecture que nous souhaitions révéler", a encore Alain Gedovieus.
La cinquantaine de photos en noir et blanc sélectionnées pour l’exposition "dévoilent le tissu architectural de la Casbah fait de terrasses et de dédales escarpés, vie grouillante le jour et ville déserte la nuit, tapie sous le couvre-feu et témoignent sur l’histoire d’une tranche de vie de cette cité durant la guerre d’Algérie sous un aspect en apparence calme", lit-on sur les notes d’information.
La rue des Abderames (Zenket Sidi Mohammed Ech Cherif) marquée par le dynamitage par les paras de Massu de la cache des martyrs Ali-la-Pointe et de Hassiba Benbouali, la Fontaine Malakoff, le marché Randon avec des militaires en patrouille, la rue Sidi Abdallah ou la rue des Bouchers, Zenket Es-Sebbaghin, la rue des Vandales, figurent parmi les clichés présentés à cette exposition.APS

samedi 11 février 2012

Paris Europe 2012 Appel à projets Label Paris Europe


Appel à projets Label Paris Europe 2012


La dixième édition du Label Paris Europe de 2012 a été désignée « Année Européenne du vieillissement actif et de la solidarité intergénérationnelle ». Elle s'adresse aux associations parisiennes ayant plus deux ans d'existence, aux groupes scolaires ou universitaires parisiens souhaitant mettre en œuvre des projets européens en y impliquant Paris et ses habitants et en y associant une métropole d'un pays de l'Union Européenne.
Les projets déposés seront évalués par un jury composé de représentants de la Mairie de Paris ainsi que de personnalités qualifiées.
Les candidats qui seront sélectionnés, bénéficieront d'une aide financière de 1500 à 15 000 € pour la réalisation de leur projet.
Date limite de remise des dossiers de candidature : mercredi 7 mars 2012.

Centre culturel algérien de Paris Mr Frantz Fanon hommage 2012


Hommage à Frantz Fanon au Centre culturel algérien à Paris

PARIS- Un hommage a été rendu Frantz Fanon, jeudi soir au Centre culturel algérien à Paris, en présence d’un public venu en grand nombre malgré le froid intense pour revenir sur le parcours de ce militant de la liberté et des luttes anticoloniales né en Martinique et enterré en Algérie.
Cette rencontre, organisée à la faveur de la commémoration du cinquantenaire de la mort de Frantz Fanon, s’est articulée autour de la projection du documentaire du cinéaste Cheikh Djemai, "Frantz Fanon, une vie, un combat, une oeuvre", suivie d’un débat animé en présence du réalisateur, de l’écrivain et chercheur Abdelkader Benarab, et du Fils de Frantz Fanon, Olivier.
S’appuyant sur les témoignages croisés des proches de Frantz Fanon, d’universitaires martiniquais, et de personnalités politiques nationales, à l’image de Rédha Malek, M’Hamed Yazid, Ali Haroun et Mohamed Harbi, le documentaire de Cheikh Djemai dévoile la personnalité d’un militant qui a marqué de son empreinte indélébile la période de la décolonisation et eu une influence remarquée sur la prise de conscience des peules sous domination coloniale.
Frantz Fanon décide très jeune de quitter son milieu natal. Engagé volontaire pendant la seconde guerre mondiale, puis étudiant en médecine à Lyon, il subit pendant ces années de formation l’expérience mortifère du racisme, cette "déviation existentielle". "Le Noir n’est pas un homme" écrit-il dans " Peau noire masques blancs".
Il refuse alors l’assimilation, se révolte contre le déni des cultures "indigènes", l’oppression économique et identitaire des colonisés, la violence faite aux peuples dominés.
Psychiatre à l’hôpital de Blida en Algérie, Frantz Fanon va mener un double combat. Celui du médecin qui pourfend les théories raciales et lutte pour désaliéner les malades mentaux victimes des traumatismes de la colonisation, qu’il analyse en clinicien et celui de l’homme engagé pour le renversement du colonialisme et la restauration de la dignité de l’homme.
En 1956, deux ans après le déclenchement de la guerre de libération nationale, il choisit son camp celui des peuples colonisés et donne sa démission de l’hôpital de Blida, part pour Tunis où il rejoint les rangs du FLN pour en devenir un membre actif, avant de mourir d’une leucémie en 1961. Fanon ne verra pas l’Indépendance de l’Algérie.
De "Peaux noirs, masques blancs" aux "Damnés de la terre", Frantz Fanon, a été "un penseur et un homme d’action n’a cessé de décrypter les formes et les conséquences des structures idéologiques d’asservissements et d’assujettissements du colonialisme", ont souligné les animateurs du débat sur le film de Frantz Fanon.
"Ce militant des causes justes a su formuler les aspirations profondes des combats des peuples du Tiers monde qui se sont dressés contre un système capitaliste, et colonisateur", ont-ils ajouté.
Olivier, le fils de Frantz Fanon a apporté des témoignages sur les convictions militantes de son père et la forte relation qu’il avait avec lui.
L’écrivain Abdelkader Benarab a estimé que trois dimensions distinguent la personnalité de Fanon, homme de pensée et d’action, soulignant en lui, "le psychiatre praticien, le militant de la cause algérienne et l’intellectuel qui contribué à donner des bases au courant intellectuel tiers-mondiste".
Auteur de l’ouvrage "Frantz Fanon û L’homme de rupture", cet universitaire a relevé que "très peu de personnages ont pu réunir ces trois dimensions en si peu de temps et avec une activité aussi extraordinaire que celle de Fanon".
Il a rappelé également que Fanon fut "un ardent défenseur" de l’idéologie anticoloniale dont il porta avec le défunt M’Hamed Yazid le message grâce à une information activement menée à travers l’organe de presse du FLN, El Moudjahid dont il était membre de l’équipe rédactionnelle.
"Il a insufflé la conscience révolutionnaire à ses lecteurs en utilisant ses articles comme support de témoignage des massacres coloniaux", a souligné M. Benarab.
Cheikh Djemaï, est réalisateur franco-algérien, qui a à son actif plusieurs documentaires qui ont été sélectionnés et consacrés dans de nombreux festivals.
Parmi ses films, il y a lieu de citer "La nuit du doute" (une fiction), "Paroles d’exil", "Le onze du FLN" et "Les charbonniers de surface".APS

mercredi 8 février 2012

Mr Bertrand Delanoë maire de Paris Marche de Charonne Algerie 2012

Marche de Charonne : un crime qui réprimait toute volonté du peuple algérien d’accéder à sa liberté (Delanoë)
PARIS- La violence qui a accompagné la marche de Charonne à Paris en 1962 était un "crime d’Etat" qui visait à réprimer toute volonté du peuple algérien d’accéder à son indépendance, a affirmé mercredi le maire de Paris, Bertrand Delanoë, lors de la commémoration du cinquantenaire de cette manifestation qui avait fait neuf morts, la plupart des militants communistes.APS

dimanche 5 février 2012

Auteurs algériens, marocains et tunisiens invités à Paris l’Hôtel de Ville 2012


MAGHREB DES LIVRES ( PARIS) : 144 AUTEURS ALGÉRIENS, MAROCAINS ET TUNISIENS INVITÉS

LA 18E ÉDITION DU «MAGHREB DES LIVRES» SE TIENDRA LES 11 ET 12 FÉVRIER À L’HÔTEL DE VILLE DE PARIS ET ACCUEILLERA QUELQUE 144 AUTEURS D’ALGÉRIE, DE FRANCE, DE TUNISIE ET DU MAROC, A-T-ON APPRIS VENDREDI  AUPRÈS DES ORGANISATEURS. INITIÉ PAR L’ASSOCIATION «COUP DE SOLEIL», CET ÉVÉNEMENT, CRÉÉ EN 1994, MET CHAQUE ANNÉE À L’HONNEUR LA LITTÉRATURE DE L’UN DES TROIS PAYS DU MAGHREB.

Après la Tunisie en 2011 et avant l’Algérie en 201o, c’est la littérature du  Maroc qui sera célébrée cette année. Les nombreux auteurs invités participeront à des dédicaces, des cafés-littéraires, des entretiens et des lectures. Plusieurs tables rondes  évoqueront des thèmes liés à l’actualité, l’histoire, l’intégration ou encore à la littérature de cette région. Une rencontre avec les Revues plurielles sera organisée le 12 février. Cette table ronde donnera la parole aux rédacteurs en chef des revues qui ont  abordé dans leurs numéros l’analyse de la diaspora marocaine dans plusieurs  pays : l’Espagne, porte d’entrée de l’Europe, la France et la Belgique. Par ailleurs, à la faveur de la commémoration du cinquantenaire de l’indépendance nationale, des hommages dédiés, entre autres, à l’écrivain algérien  Mouloud Feraoun, ainsi qu’à ses cinq compagnons assassinés par l’OAS en mars 1962, sont prévus à la faveur de cette manifestation culturelle. 
Un hommage sera également rendu à Frantz Fanon, figure marquante de la lutte anticoloniale des pays du Tiers-Monde, disparu en 1961, et qui sera animé par des écrivains et chercheurs, parmi lesquels l’universitaire Christiane  Chaulet-Achour. En outre, des cafés littéraires seront organisés autour de thèmes aussi différents que la chute de régimes arabes au cours de l’année 2011, et les massacre des Algériens sortis manifester pacifiquement à Paris le 17 octobre 1961 contre le couvre-feu qui leur avait été imposé par le préfet Maurice Papon. Une librairie sera en outre mise, deux jours durant, à la disposition des visiteurs du salon et comprendra tous les livres publiés en 2011, relatifs  au Maghreb et à l’intégration, en provenance d’Algérie, du Maroc et de Tunisie.                                                              
APS ELWATAN

jeudi 2 février 2012

Paris 2012 Comédie musicale algérienne Essaha


La comédie musicale "Essaha", projetée vendredi à Paris
PARIS- "Essaha" (La Place), une première comédie musicale algérienne, sera projetée vendredi à l’Auditorium de l’Hôtel de Ville de Paris, a-t-on appris mercredi auprès de son réalisateur, Dahmane Ouzid.
La projection sera suivie d’un débat avec le réalisateur, a-t-il précisé à l’APS, signalant que le long métrage sortira sur les écrans en France le 8 février.
Selon lui, il s’agit, à travers une telle projection, de faire de la promotion à un produit cinématographique algérien dans l’Hexagone et de lui donner "plus de lisibilité" auprès du public français. "C’est grâce à une telle promotion que nous pourrons avoir les moyens financiers nécessaires à une large diffusion du film en France avec une premier sortie à Paris, à partir du 8 février", a expliqué le réalisateur.
La Place donne à voir une jeunesse décomplexée, chantant et dansant, confrontée aux réalités urbaines de l’Algérie contemporaine. La scène se déroule au coeur d’une cité neuve, un terrain resté dépourvu de tout aménagement... Pour le réalisateur, l’autre but recherché à travers la diffusion de ce film en France est de mettre à profit le cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie pour donner une "image valorisante de la jeunesse algérienne".
"Le propos est de rompre avec les clichés présentant la jeunesse algérienne comme celle des desesperados ou de la harga (immigration clandestine). Nous voulons, par le biais d’une oeuvre joyeuse, mettre en relief des comédiens que nous considérons comme étant les véritables ambassadeurs de la jeunesse algérienne telle qu’elle est", a-t-il dit.
Sorti en 2010, Essaha a été à plusieurs reprises distingué lors de festivals internationaux, à l’image du Fespaco (Ouagadougou) dont la 22 eme édition en 2011 lui a décerné le prix spécial des Nations-unies pour la lutte contre la pauvreté, et le prix de la meilleure affiche qui vient récompenser le talent du designer et graphiste, Nouredine Boutella.
Le film avait déjà obtenu un prix pour la musique au Festival de Montpellier ainsi que les prix d’interprétation masculine et féminine au dernier Festival international du film arabe d’Oran.
D’autres festivals à l’instar du Cinémed à Montpellier, d’El Ojo Cojo de Madrid ou celui de Milan ont également donné une première visibilité à l’oeuvre produite par Belkacem Hadjadj, cinéaste et producteur de films.APS